Notre petit forum est destiné à notre serveur discord.. J'ai voulu aller plus loin, étaler un peu notre monde, et qui sait, peut-être faire de nouvelles rencontres !
Mon nom est Remina Von Ruthven, Mina pour simplifier, je suis de ceux qu'on appelle "transgenre" et je suis âgée de 19 ans. Je suis originaire de France. Je suis fan de vampirisme et de mythologie scandinave, et je suis fan de Lovecraft.
Caractère
Bah en fait, j'ai le sang chaud et je m’énerve pour très peu. J'aime pas grand monde en général. Sinon je suis guitariste et bassiste, j'ai pas de groupe! Je suis fan de Black Metal, je vais en concert au moins 3x par mois! Mes groupes préférés sont Septicflesh et Novembers Doom. Globalement, je suis assez sociale, j'aime discuter, échanger les points de vue, etc. Bref, je ne mord pas tant que l'on ne cherche pas à m'ennuyer!
Histoire
Alors ça c'est le moment drôle. Donc comme je l'ai annoncé plus haut, je suis trans, je te préviens juste pour éviter les mauvaises surprises et deceptions, sinon je suis une fille comme les autres. Globalement, j'ai une vie un peu pourrie comme la plupart des gens, alors ça ne sert à rien d'étaler ça ici. Ce serait avec plaisir, de te rencontrer, toi qui lis ceci!
Dans un monde de silence où l’on ne peut rien briser, on ne sait si hurler nous sauve des larmes ou nous enfonce un pieu supplémentaire comme une mutilation volontaire, en plein cœur. Alors on meurt un soir, sous la terreur, on dit adieu, et à l’aube, on remet le même masque de l’idiot qui reflète la candeur des mortels et du silence, et quand ce masque est trop difficile à porter, on s’arrache la peau du visage avec une lame ou des ongles sales, dans un corps qu’on laisse pourrir à vue d’œil, et on met ce masque comme une peau pour masquer les pulsions, d’un lendemain sans soleil, silencieux. Et quand le masque commence à tomber, on blesse de pauvres innocents par cupidité, obnubilé par la damnation. Nihiliste comme le vieux qui attend la mort sans même avoir vécu le car d’une vie de mortel. On pleure, et d’une fausse plume, on se vide avec une prose insignifiante en croyant tout changer, mais le silence est toujours maître du monde, jusqu’au jour où la terre me recouvre et mon visage sans terre se fera bouffer par des insectes chétifs, mais ce jour, est-ce un surplus de courage ou de la lâcheté pure? Alors on y songe de plus en plus, on tremble, on regarde le vide sans savoir si l’on peut si jeter, et pour faire perpétuer le silence, on espère oublier. Adieu pour une nouvelle aube et un autre masque d’hypocrisie, renfermant un corps mort, pourrissant avant même le trépas.